Nous sommes en 2019. Robespierre a des comptes à régler et il vous invite à sa table pour en discuter tranquillement…
Vous serez vingt spectateurs, ou plutôt vingt citoyens, face à un Robespierre bien décidé à mettre les poings sur le i de la démocratie.
Anne Monfort : « Faut-il porter le deuil de la démocratie ? A-t-elle disparu à force d’être confondue avec le consensus ? Nous avons eu l’envie de revenir aux fondamentaux, à Robespierre, à Saint Just, à Sophie Wahnich aussi, l’auteur du Radeau démocratique. Radeau ou Méduse ? La démocratie pétrifierait-elle tous ceux qui la regarderaient en face ? Nous avons voulu imaginer une fantaisie picturale, se promenant dans l’histoire de l’art et du politique, pour interroger cette démocratie, la rendre vivante de conflits, et pourquoi pas, insurgeante.»